CHEMIN(S) EN FORME DE FEMME
Un chemin de vie en forme de spectacle-concert puissant, poétique et formidablement cathartique.
Récit initiatique de la construction d’une jeune femme -Estelle Meyer-, ce spectacle tissé de mots et de musique fait résonner la figure protectrice et le regard de Gisèle Halimi. En jeu, sur scène, des questions de fond, de femme, universelles aussi. Comment être femme a été transmis par la famille et la société ? Comment devenir libre de son destin et échapper à toute prédestination ? Comment rire de la catastrophe ? Quelles nuits faut-il traverser pour enfin s’appartenir ? Comment réellement niquer la fatalité ? Mis en partage avec le public, ce chemin intime de toutes les premières fois de la vie d’une petite fille jusqu’à ses 35 ans évoque les premiers émois et les violences liées à la sexualité et la quête de ressources pour ouvrir une voie possible à la guérison.
Bord-plateau avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation.
Stage cercle de femmes en lien avec le spectacle >>> plus d’infos
la semaine Elles 2025
Spectacle avec sur-titrage adapté
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Un spectacle détonant, porté par deux superbes interprètes provenant de la sphère de la culture hip-hop.
Œuvre pour piano à quatre mains, Fantaisie en fa mineur, op. 103 – composée par Franz Schubert en 1828, sert ici de matrice à une pièce de danse. Deux interprètes se partagent un espace scénique exigu (4 mètres sur 4) avec autant d’assurance que de sensibilité. Ils répercutent la musique via une très originale partition chorégraphique, affranchie des codes classiques et ouverte aux oscillations des danses urbaines et contemporaines.
Impulsée dans le cadre de la Collection tout-terrain du Centre chorégraphique national de Caen en Normandie, cette nouvelle création de Marco da Silva Ferreira peut être présentée en intérieur comme en extérieur. En Loir-et-Cher, elle est programmée dans le cadre de La Familia, scène itinérante pour l’enfance et la jeunesse.
Soirée plateau-danse : Fantasie Minor et Welcome
le Conseil Départemental 41, Agglopolys – Communauté d’agglomération de Blois et l’Hectare – Territoires Vendômois, Centre national de la Marionnette
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Un trio facétieux et ventriloque déjoue les jeux de langage et de la représentation.
Welcome entremêle dans un désordre virtuose les mots et les gestes de trois interprètes. Leurs marches sont lentes. Leurs corps sont fragmentés. Les mots se tordent et se décomposent créant un voyage où corps et voix se dissocient, s’entremêlent et se démènent. Au gré de cette métamorphose infinie, le trio oscille entre burlesque et étrangeté, ironie et absurdité. Il se joue du décalage entre ce qui est vu et entendu : des voix sans corps, des visages sans regard, des sourires sans bouche, des larmes sans yeux…
À travers ce voyage physique et sonore, Welcome nous invite, avec beaucoup d’humour, à aller vers l’autre et à nous rassembler.
Soirée plateau-danse : Fantasie Minor et Welcome
l’Hectare – Territoires Vendômois, Centre national de la Marionnette
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“Un saisissant portrait croisé de femmes fortes et aguerries par la vie.”
Les Inrocks
Chaque création de Gurshad Shaheman a la saveur de l’inédit, du défi scénique performatif. Avec Les Forteresses, l’auteur et metteur en scène franco-iranien nous invite dans un salon persan chaleureux, aux tapis chatoyants, pour nous raconter l’histoire éclatée d’une famille. Sur scène, il convie sa mère et deux de ses tantes. Aux côtés de l’artiste et de comédiennes qui portent les voix familiales, le récit se déroule : nées en Iran au début des années 60, elles ont connu la révolution de 1979, la répression, et ont vécu huit ans de guerre. En mêlant théâtre, musique, moments chantés et quelques pas dansés, la représentation transporte les spectateurs dans une expérience du sensible.
La représentation du samedi 22 sera suivie d’une après-scène musicale (gratuit – entrée libre) avec le groupe Râvi (Mirtohid Radfar & Hossein Parnia) ainsi que d’un dîner musical iranien.
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Seul-en-scène à partir du journal de cet auteur emblématique.
“Je caresse depuis longtemps le désir de faire quelque chose au théâtre d’après les Journaux de Jean-Luc Lagarce. La proposition de Johanny Bert de monter Juste la fin du monde, et de me confier le beau rôle de Louis, le fils taiseux, a été le déclencheur : tout ce que sa famille attend qu’il dise, qu’il dise enfin (c’est-à-dire ‘voilà qui je suis’) et tout ce que Louis ne leur dira pas, je le dis au public, dans ce seul-en-scène…
‘Il ne m’est jamais rien arrivé…. Juste la fin du Monde’. Voilà ce que Louis/Jean-Luc pourrait ‘hurler une bonne fois (…) seul dans la nuit, à égale distance du ciel et de la Terre’.”
Vincent Dedienne
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Une nouvelle version d’une pièce-monument du théâtre contemporain.
Juste la fin du monde : c’est avec un petit monument du théâtre contemporain que Johanny Bert fait le choix de dialoguer pour cette nouvelle mise en scène. Après de longues années d’absence, Louis rend visite à sa famille avec le fardeau d’une terrible nouvelle, sa mort prochaine. Mais comment exprimer l’indicible aux siens ? À sa mère, sa sœur Suzanne et son frère Antoine. Dans une atmosphère tumultueuse, les mots se bousculent, laissant place aux tentatives désespérées de renouer le dialogue, aux paroles se heurtant à l’incompréhension. Le metteur en scène, acteur et marionnettiste, s’entoure d’une belle troupe de théâtre emportée par Vincent Dedienne dans le rôle de Louis, le protagoniste principal, pour aborder avec tendresse et sans complaisance la complexité humaine.
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Un seul-en-scène uppercut, librement inspiré de faits réels.
Amazonia est le récit d’un combat quotidien dans un entrepôt de distribution, du système managérial d’une firme, d’une lutte clandestine, des espoirs de promotion, de la violence des licenciements. C’est l’image d’un homme seul à la barre du tribunal des Prud’hommes. Des racines de son engagement à sa tentative de révolte, en terminant par sa quête de justice, Amazonia nous questionne sur ce qui peut conduire un individu à dire non et à mettre son propre corps en jeu dans l’Histoire. Aurélien Labruyère et Jean-Baptiste Delcourt font œuvre des problématiques du monde social en replaçant l’artiste au cœur de la société par le moyen d’un théâtre documentaire exigeant et de qualité.
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Un conte chorégraphique et fantasmagorique.
Marion Carriau nous invite dans un monde fantasmagorique où se mêlent mots, gestes et musique. Au fil de ses métamorphoses et de ses récits, elle laisse apparaitre des personnages magiques et des figures sacrées. Dans son décor merveilleux qui fait se rencontrer des allégories de nuages et de montagnes, elle évolue pour incarner en voix et en pas les signes de cette danse. Elle est l’amante, l’idole, les dieux du Panthéon indien, un monstre, des animaux… Je suis tous les Dieux est un conte chorégraphique qui tisse des liens magnifiques entre écriture contemporaine et danse traditionnelle indienne.
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Un seul-en-scène minimal pour un plaisir théâtral maximum du dire et de l’écoute.
Chaque projet de Thomas Quillardet est l’objet d’une recherche documentaire. Après avoir enquêté sur la privatisation de TF1 (Une télévision française), voici le metteur en scène-acteur à l’observation, pendant six mois, d’un service d’addictologie d’un hôpital. De ces journées aux côtés des patients et des soignants, et des ateliers qu’il a lui-même menés dans ce service, est née la nécessité d’une histoire à raconter. Ou plutôt d’une dizaine d’histoires : des parcours de personnes dépendantes cherchant à apprivoiser l’abstinence, mais aussi de soignants qui les accompagnent. De maux en mots, il dresse le portrait d’un service public en crise, en mettant à distance, par l’humour et le rire, le tragique.
Bord-plateau avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du 3 avril.
le Centre Hospitalier Simone Veil de Blois
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