Un ovni théâtral, aussi drôle et décalé qu’étonnant !
Après J’aurais mieux fait d’utiliser une hache, son précédent spectacle, et ses propositions drolatiques autour de la scène d’introduction du film Scream, le collectif Mind The Gap part désormais à la découverte des monstres et créatures qui peuplent les traditions européennes ancestrales et nos imaginaires de grands enfants ! Dans ce nouvel opus, on voit surgir des êtres étranges : des créatures à la fois hommes et ours, des bergers qui sont aussi des brebis ou des boucs, des sapins mouvants, et aussi des monstres tenant du yéti. C’est à un nouveau rituel théâtral auquel nous invite Mind The Gap : des hommes et des femmes revêtent des costumes* et des masques, défilent et dansent dans les rues aux équinoxes de printemps ou d’automne, “pour que l’année soit bonne et la terre fertile” !
* Le projet de création tire son inspiration d’un costume conçu et réalisé par Karine Marquès Ferreira pour la fashion week.
Bord-plateau avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation.
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